Gang des potiches :
appellation affublée à l'amicale par notre hôte de la maison de caractère de la fin du 19ème (siècle) située à ??? , un soir de mai 200?. Un des membres, dont par pudeur nous ne citerons que les initiales MJ, pris d'un besoin naturel chercha à le satisfaire. La belle nuit étoilée qui régnait sur notre gite l'incita à s'épandre dans la nature, les arbres centenaires du parc faisant alors office d'urinoir naturel. Le malheur voulut au retour que la trajectoire incertaine qu'il tentait de suivre rencontrât celle d'un pot de céramique posté en haut des quelques marches séparant la terre ferme du rez de chaussée de notre habitat rural. Les notions de priorité de circulation étant étrangères à la potiche, la collision eut lieu, au grand dam de la potiche qui se retrouva, pas en mille morceaux, soyons modestes, mais en 8 ou 10. L'analyse rapide que MJ entreprit alors lui montra qu'un raffistollement destiné à masquer la fracture n'était pas chose aisée. L'accident parvenu aux oreilles et aux yeux de notre hôte, celui-ci usa d'un trait d'humour en nous qualifiant de "gang des potiches", par analogie au célèbre gang des postiches écumant les agences bancaires parisiennes dans le début des années 80 (1980), notre périmètre d'écumage à nous se limitant au pot au feu et au bistrot de Vouzeron.
Au cours de cette fameuse soirée, nous apprîmes que la maman de Toto n'avait pas 3 enfants mais 4, à sa grande surprise, et que Pim et Pam avait un frère caché.